lundi 22 février 2010
samedi 20 février 2010
Princess
Look closely at her.
She crosses a city street, teetering on her stilettos, tossing her saddle bag on her right hip, trying nervously to stretch her short dress pulling up on her tights. It's daylight. The place is crowded.
Everywhere, she meets Argos's eyes: regards qui se détournent, fuient, jugent, scrutent, déshabillent, examinent. Invisibility is not hers anymore, she can not blend in with the usual confortable undifferenciated look. She is visible, too visible.
She knows that she must not look around. Elle esquisse un sourire gêné, et jette des coups d'œil furtifs au blanc de la robe dépassant de sous le manteau, de crainte qu'il ne remonte trop.
Quickening her pace in time to the quickening of her pulse, yet she begans to become bolder, et son mouvement se fait peu à peu balancier. She catches sight of the reflect of her legs in a mirror, and she smiles. She is young, and for a moment, she feels radiant, and radiant she is.
She knows that it will not last. She knows that for many years now.
Youth is her crown.
Sinon, j'ai eu une nouvelle idée. Ce qui nous amène à quatre (la précédente idée n°3 ayant été supprimée et remplacée). Reste à les réaliser.
She crosses a city street, teetering on her stilettos, tossing her saddle bag on her right hip, trying nervously to stretch her short dress pulling up on her tights. It's daylight. The place is crowded.
Everywhere, she meets Argos's eyes: regards qui se détournent, fuient, jugent, scrutent, déshabillent, examinent. Invisibility is not hers anymore, she can not blend in with the usual confortable undifferenciated look. She is visible, too visible.
She knows that she must not look around. Elle esquisse un sourire gêné, et jette des coups d'œil furtifs au blanc de la robe dépassant de sous le manteau, de crainte qu'il ne remonte trop.
Quickening her pace in time to the quickening of her pulse, yet she begans to become bolder, et son mouvement se fait peu à peu balancier. She catches sight of the reflect of her legs in a mirror, and she smiles. She is young, and for a moment, she feels radiant, and radiant she is.
She knows that it will not last. She knows that for many years now.
Youth is her crown.
Sinon, j'ai eu une nouvelle idée. Ce qui nous amène à quatre (la précédente idée n°3 ayant été supprimée et remplacée). Reste à les réaliser.
vendredi 5 février 2010
Passante
"Look closely at her.
She crosses a city street, juggling her briefcase and her sack of groceries. Or she walks down a dirty road, balancing a basket on her head. Or she hurries toward her locked car, pulling a small child along with her. Or she trugdes home from the fields, the baby strapped to her back.
Suddenly there are footsteps behind her. Heavy, rapid. A man's footeps.
She knows this immediately, just as she knows that she must no look around. She quickens her pace in time to the quickening of her pulse.
She is afraid. He could be a rapist. He could be a soldier, a harasser, a robber, a killer.
He could be non of these. He could be a man in a hurry. He could be a man merely walking at his normal pace.
But she fears him. She fears him because he is a man. She has reason to fear."
The Demon Lover, Robin Morgan
Parfois, il y a cet instant fugitif, a feeling of completeness, touché furtif, frôlement de l'âme d'un mot, d'un geste, d'une image, d'un son, d'un lieu, d'un être. And for a while, the puzzle is complete, everything is in place. Something, unknown before, is recognised. And our mind and our heart broaden and blossom.
I live for these moments.
Pénélope
"The late John Gardner once said that there are only two plots in all literature.
You go on a journey or a stranger comes to town.
Since women, for so many years, were denied the journey, they were left with only one plot in their lives-to await the stranger. [...] While the latter part of the twentieth century has seen a change of tendency, women's literature form Austen to Wolf is by and large a literature about waiting, usually for love."
You go on a journey or a stranger comes to town.
Since women, for so many years, were denied the journey, they were left with only one plot in their lives-to await the stranger. [...] While the latter part of the twentieth century has seen a change of tendency, women's literature form Austen to Wolf is by and large a literature about waiting, usually for love."
The Virago Book of Women Travellers, ed.by Mary Morris
lundi 23 novembre 2009
Pas envie
Pas envie, en fait. Peut-être que je changerai d'idée d'ici cinq minutes, ou une semaine, ou plus. Ou pas. Dois d'abord quitter la Russie. See ya!
mardi 3 novembre 2009
Poudre aux yeux
Mea culpa, mea maxima culpa: comme d'aucuns ont pu le remarquer, je n'ai jusqu'ici pas publié grand chose sur ce blog (broutilles et billevisées, babioles et verroteries -je reviendrais un jour sur ces deux termes "balioles et verroteries", je me suis posée une question à ce sujet récemment, mais je risque de m'égarer une fois de plus et je vais vous perdre entre le bateau et la forêt).
Le fait est que je ne sais pas vraiment quoi faire de cet objet, ce "blog". Je n'en aurai pas eu l'idée sans Fabien et Gaelle, et il est vrai que j'ai d'abord pensé que c'était un chouette support pour donner de mes nouvelles (vu que je suis plutôt longue à la détente pour les réponses aux mails/sms etc comme vous ne le savez que trop). Donc je me suis dit: ok, banco, lets go.
Mais bon, arrivée là, problème: qu'est ce que je vais bien pouvoir écrire? Vais-je raconter ma vie et tout le toutim? Cela n'a jamais été mon intention et cela m'effraie et me répugne plus qu'autre chose. Me contenter de balancer deux trois photos? (genre, là, moi, Edimbourg, moi, là, encore, Whitby etc...) Ou bien, bon, ben là, paf paf, écrire deux trois lignes sans plus de cogitation sur qq chose qui m'a surprise, plu, fait sourire, donné envie de massacrer qqn?
Muif muif.
Donc pour revenir à nos moutons (en parlant de moutons, j'ai acheté une super écharpe en laine avec des mm -mignons moutons- dessus à Edimbourg, elle est trop schnouf), et pour reprendre l'idée de Miss Maîtresse du jeu alias Caroline, vous êtes priés d'élire et de voter pour le sujet du prochain message:
1 si tu n'as pas peur de m'entendre une fois encore essayer de raconter une histoire, tape Péripéties et aventures de Saint Mungo
2 si tu ne crois pas, femme/homme de peu de foi, en la nourriture anglo-saxonne, tape Pâtisseries et autres douceurs british
3 si tu as envie de mesurer, une fois encore, à quel point il peut m'arriver, parfois, d'être à côté de la plaque, tape Prière de ne pas oublier...
Voilivoilà.
Tchaoooo et hasta la vista darlings
Le fait est que je ne sais pas vraiment quoi faire de cet objet, ce "blog". Je n'en aurai pas eu l'idée sans Fabien et Gaelle, et il est vrai que j'ai d'abord pensé que c'était un chouette support pour donner de mes nouvelles (vu que je suis plutôt longue à la détente pour les réponses aux mails/sms etc comme vous ne le savez que trop). Donc je me suis dit: ok, banco, lets go.
Mais bon, arrivée là, problème: qu'est ce que je vais bien pouvoir écrire? Vais-je raconter ma vie et tout le toutim? Cela n'a jamais été mon intention et cela m'effraie et me répugne plus qu'autre chose. Me contenter de balancer deux trois photos? (genre, là, moi, Edimbourg, moi, là, encore, Whitby etc...) Ou bien, bon, ben là, paf paf, écrire deux trois lignes sans plus de cogitation sur qq chose qui m'a surprise, plu, fait sourire, donné envie de massacrer qqn?
Muif muif.
Donc pour revenir à nos moutons (en parlant de moutons, j'ai acheté une super écharpe en laine avec des mm -mignons moutons- dessus à Edimbourg, elle est trop schnouf), et pour reprendre l'idée de Miss Maîtresse du jeu alias Caroline, vous êtes priés d'élire et de voter pour le sujet du prochain message:
1 si tu n'as pas peur de m'entendre une fois encore essayer de raconter une histoire, tape Péripéties et aventures de Saint Mungo
2 si tu ne crois pas, femme/homme de peu de foi, en la nourriture anglo-saxonne, tape Pâtisseries et autres douceurs british
3 si tu as envie de mesurer, une fois encore, à quel point il peut m'arriver, parfois, d'être à côté de la plaque, tape Prière de ne pas oublier...
Voilivoilà.
Tchaoooo et hasta la vista darlings
Puck and sprite
Croisés dans les rues de Glasgow le soir d'Halloween : deux abeilles hilares, une flopée de zombies et autres mort-vivants (avec en prime deux trois membres arrachés à leurs victimes), Luke Skywalker poirautant en compagnie d'un de ses potes Jedi, Pocahontas, un groupe de diablesses quinquagénaires en virée, Batman et le Joker marchant de concert, les Village People au complet, trois ou quatre Paris Hilton gloussant en coeur(déguisement involontaire je le crains), une Blanche-Neige en rangers, une Méduse, une troupe de cavaliers et leurs montures gonflables.
Bon, ça vous dit de se pointer à Glasgow l'année prochaine pour le 31 octobre? Moi, je serai au choix: un albatros-garou ou la grande prêtresse du buffalo cheese :) je suis sûre qu'ils ont pas encore vu ça les Scottish
Bon, ça vous dit de se pointer à Glasgow l'année prochaine pour le 31 octobre? Moi, je serai au choix: un albatros-garou ou la grande prêtresse du buffalo cheese :) je suis sûre qu'ils ont pas encore vu ça les Scottish
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